mardi 16 septembre 2014

16 Sept 2014 Vers les Cinque Terre



Nous nous extrayons de Florence par l'autoroute jusqu'à Pistoia.
On longe des kilomètres de pépiniéristes qui proposent des cyprès de 5 mètres en pot, des oliviers,
des palmiers.
A Pistoia, il faut prendre la direction d'Abetone, station de ski des Florentins, qui permet d'emprunter une autre superbe route avec un très bon revêtement, des virages relevés, toute la panoplie quoi!
Seul inconvénient, c'est un axe routier fréquenté qui relie Florence à Modène directement sans prendre l'autoroute. Si on a de la chance (notre cas), on enquille les virages, autrement on peut se trouver coincé derrière un semi remorque. Il y a un virage tous les 50 mètres et la végétation ne permet pas d'apprécier le trafic un ou deux lacets plus loin.
Un pont du diable vers Lucques

On ne va pas jusqu'à Abetone et on descend vers Lucques pour l'autoroute jusqu'à La Spezia.
La traversée de celle-ci se fait sans problème, les Cinque Terre sont bien fléchés.
A la sortie de La Spezia, on entre vite dans le vif du sujet, ça grimpe sec, et on domine la rade.
C'est le Brest ou Toulon Italien (ports de la marine de guerre) avec le soleil et les palmiers.
La rade de La Spezia

La route panoramique des Cinq Terre est très agréable, offre des points de vue.
Malheureusement, les parkings sont situés à gauche (en venant de La Spezia) ce qui est délicat en moto: il faut traverser la route sans visibilité et il y a des gravillons. Magali fait des photos à la volée.
Les vignes et le vigneron

Les vignes dominent la mer


Les outils du vendangeur pour remonter la récolte:
Le tracteur

Le rail du tracteur


Gag en arrivant à l'hôtel, je me suis planté en réservant, j'ai marqué 1 personne: la réception accepte qu'on se serre dans le petit lit avec un supplément pour les serviettes, ils n'ont plus de chambres doubles. Après les lits séparés de la pension protestante, le petit lit en 90 !


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